La sexualité est un phénomène complexe, extrêmement puissant, qui est fondamentalement lié à la nature cosmique de l’homme. Si elle est source de bien-être et de vitalité, elle est également source d’angoisse et d’insécurité, de fantasmes et de mythes, de distorsion et de manipulation. La sexualité représente le terrain où se révèle toute la sensibilité de l’être, mais aussi tout ce qu’il porte en lui et qui relève de la conscience planétaire. Or au cours du processus de transformation, le corps vit une profonde transmutation avec, à un moment donné, une suspension de la sexualité. Cela se traduit par une perte de désir sexuel, avec l’impression que le corps se bloque et se ferme. Il s’agit d’une étape importante du processus, mais qui peut créer de l’inquiétude chez l’être en évolution. Il est nécessaire de bien la comprendre pour ne pas en souffrir.
L'énergie sexuelle
Avant toute chose, il faut préciser que l’énergie sexuelle n’existe pas en tant que telle. Elle est une manifestation de l’énergie de vie qui circule dans l’homme, lui donne sa vitalité et assure la reproduction de l’espèce. Parler d’énergie sexuelle, c’est donc parler d’un phénomène qui est une expression de l’énergie fondamentale qui anime tout être humain. Elle n’est donc pas spécifique dans sa nature, mais plutôt dans sa manifestation et dans son mouvement, selon les centres qu’elle traverse et qu’elle met en vibration. Or les mémoires liées à la sexualité sont extrêmement denses. Elles pèsent de tout leur poids dans l’existence d’un être et dans sa conscience : enregistrées au niveau de l’âme, elles impriment également les lignées ancestrales sur plusieurs générations, étouffées par le silence, le déni et les non-dits. Si ces empreintes sont relativement faciles à identifier, elles peuvent être longues et fastidieuses à libérer, tant elles sont incrustées sur de multiples strates superposées. C’est pourquoi lorsque l’être se conscientise et se libère de sa mémoire, ses besoins sexuels ont tendance à s’affaiblir. Les premiers temps, la suspension de la sexualité pourra générer une inquiétude, une angoisse ou une insécurité. Chez la femme par exemple, la perte de désir pourra soulever des questions concernant son apparence, sa valeur, ses sentiments profonds ou ses besoins réels : “suis-je encore désirable“, “suis-je encore capable d’aimer“, “ai-je le bon partenaire“ ou “quels sont mes besoins réels“... Il en est de même pour l’homme qui lui, s’inquiètera de sa santé et pourra douter de ses capacités physiques. En réalité, lorsque l’énergie interne est transmutée, le processus, sous l’impulsion de l’esprit, tend à inhiber certains centres sur le plan subtil, mais aussi à fermer certains accès sur le plan physique, ceci afin de protéger le processus de toute interférence extérieure. À ce moment, les besoins et l’activité sexuelle sont mis en veille.
On pourrait dire qu’à travers la sexualité, l’être fait l’expérience de sa nature cosmique, mais pendant un temps très court. Or l’être qui est en contact avec son esprit, vit de plus en plus le contact avec sa dimension cosmique. La suspension de la sexualité est donc vécue en tant que processus vibratoire et non en tant que défaillance physique ou désordre psychologique.
Abordons maintenant un aspect méconnu de la sexualité et que l’on pourrait appeler le mécanisme de transfert. L’homme et la femme sont différents dans leur sensibilité, leur psychologie, mais aussi dans leur organisation énergétique. Tout comme le sang assure la continuité de la mémoire karmique et transgénérationnel, le liquide séminal représente également un support pour la mémoire. Cela signifie que pendant l’acte sexuel, lorsque l’homme libère son fluide dans le corps de la femme, il transfert également une partie de sa mémoire, ainsi que le contenu de son corps émotionnel. C’est le mécanisme de transfert. Et au risque de paraître triviale, on peut dire que l’homme se décharge, tandis que la femme se charge. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, après un rapport sexuel, l’homme se sent soulagé, libéré et vivifié, tandis que la femme a plutôt tendance à ressentir une baisse d’énergie et de la fatigue ; elle a besoin de temps pour intégrer. Et le fait qu’un amour sincère unisse les deux êtres, ne change rien à ce mécanisme de transfert. Ceci permet de dire que la sexualité, telle qu’elle s’exprime chez l’être humain, sert en partie à assurer la continuité de la mémoire planétaire. En ce sens, elle est donc largement dominée par les forces astrales, qui sont par ailleurs très habiles pour rendre l’homme et la femme dépendants à la sexualité... jusqu’à ce qu’ils deviennent conscients d’eux-mêmes et maîtres de leur énergie.
LE PHÉNOMÈNE DE LA KUNDALINI
Dans ce phénomène, on trouve également bon nombre de croyances et de distorsions. L’éveil de la kundalini consiste à activer l’énergie sexuelle depuis les centres inférieurs, notamment par des exercices respiratoires et la récitation de mantras, puis de la guider le long de la colonne vertébrale jusqu’au sommet de la tête. L’objectif est ici d’illuminer les principaux centres vitaux, d’ouvrir les chakras supérieurs et de provoquer l’ouverture de la conscience. En réalité, cette pratique repose en partie sur la canalisation de l’énergie tellurique terrestre, bien plus que sur l’activation de l’énergie sexuelle : une énergie de feu, captée par les deux premiers chakras, puis élevée jusqu’au centre coronal, et qui peut provoquer des dommages importants, telle qu’une irradiation du système nerveux et des douleurs dans le dos. Pour vous représenter ce phénomène, imaginez une lentille ou une loupe qui focaliserait et condenserait les rayons du soleil si intensément, qu’elle pourrait brûler n’importe quoi. Si certaines pratiques, comme le trantrisme, peuvent aider l’être à transcender son rapport à la sexualité afin de vivre une intimité plus harmonieuse, elles peuvent aussi amplifier ses besoins et le conduire à l’addiction et à la possession astrale. En réalité, tout être soumis aux pulsions de son corps de désir et de son corps émotionnel, vit une forme de possession ; il n’est pas maître de son énergie. Or l’énergie sexuelle est une énergie vibrante, puissante et magnétique. Et comme nous l’avons déjà mentionné, ce qui est fortement magnétique est fortement magnétisable, et donc manipulable. Ainsi, plus l’être est astralisé dans sa conscience et dans son énergie, plus il est excitable, réactif, émotif, et plus sa sexualité souffre de l’influence astrale. Mais la montée de kundalini n’a rien à voir avec la descente de la lumière dans l’homme, qui elle, pénètre la sphère mentale avant d’atteindre les centres inférieurs de l’être. La lumière descend ; elle ne monte pas. S’il y a ouverture de la conscience, c’est par la descente d’une énergie de haute fréquence, impulsée par l’esprit dans l’être, et non par la montée d’une énergie tellurique, gorgée des mémoires primitives et archaïques du globe. Ce n’est pas un hasard si l'on constate aujourd’hui un vieillissement de la population mondiale avec dans certains pays, une natalité en chute libre. Ce phénomène démographique est à mettre en lien avec la transmutation de l’énergie planétaire. Ce n’est donc pas la baisse de la natalité qui modifie l’équilibre démographique et économique d’un pays, mais plutôt les besoins de transmutation de la mémoire d’une race, d’un peuple ou d’une planète. Or ces besoins nécessitent à un moment donné un ralentissement démographique, pouvant aller parfois jusqu’à l’extinction d’un peuple ou d’une race.
De tous temps, de nombreux peuples ont existé à la surface de la terre, puis se sont éteints, leur conscience étant devenue incompatible avec l’évolution planétaire dans son ensemble, telle que définie par les grands êtres qui la planifient.
LE SERPENT PLANÉTAIRE
Les sociétés modernes et certaines sociétés antiques, sont parvenues à faire de la sexualité un divertissement, parfois extrêmement raffiné et sophistiqué. Au regard du mécanisme de transfert dont nous avons parlé, la sexualité ne peut pas être réduite au simple plaisir de la chair et à la satisfaction des besoins émotionnels. La sexualité possède une dimension occulte puissante qui ne peut être ignorée. Or les besoins sexuels de l’homme ont toujours fait l’objet de manipulation par les forces invisibles et ces forces savent parfaitement appuyer sur les bons boutons pour capter et vampiriser son énergie vitale. Manipuler l’énergie sexuelle permet en effet de nourrir une entité que l’on pourrait appeler le serpent planétaire, et qui permet de contrôler l’énergie de la planète toute entière. Dans ce phénomène, l’être humain représente la cheville ouvrière qui assure la vitalité du serpent planétaire. Observez à quel point la sexualité est aujourd’hui omniprésente : en quelques années, la toile est devenue un océan d’images à caractère sexuel ou pornographique ; l'art, la culture, les industries musicales et cinématographiques en sont infectées, sans parler de la promotion plus que douteuse de la sexualité chez les tout-petits et les scandales qui éclatent chaque jour dans le monde. Si sur le plan subtil, la sexualité est un enjeu de pouvoir et un levier de manipulation des masses, sur le plan matériel, elle représente aussi un marché très juteux. Vous comprendrez mieux pourquoi l’énergie sexuelle est constamment exposée, promue, excitée, stimulée… À l’évidence, le serpent planétaire a dépassé le seuil de l’obésité morbide. Or dans le processus de transformation, l’homme et la femme qui se conscientisent, cessent de nourrir les forces invisibles, que ce soit à travers leurs émotions, leurs pensées ou leur sexualité. Et lorsqu’il n’est plus le temps pour vous de manger un aliment que vous avez pourtant apprécié pendant des années, votre corps, à un moment donné, impose une diète et peut-être un changement d’alimentation : non pas pour nourrir les besoins émotionnels de l’ego planétaire, mais pour nourrir les besoins vibratoires de l’être qui s’individualise dans sa conscience. Si la sexualité est sous l'influence des forces astrales dans l’être, elle subit aussi le mouvement de la lumière en lui. Tout dépend donc de son taux vibratoire. Si le taux vibratoire est bas et que l’ego est dominé par sa mémoire, sa sexualité sera astralisée.
Mais si l’être est en évolution de conscience et que son processus de transformation est bien avancé, sa sexualité sera soumise au mouvement de la lumière en lui. Ce qu’il vit dans sa chair, dans son corps, est désormais placé sous l’égide de son esprit.
TRANSFORMATION OU DISPARITION DE LA SEXUALITÉ ?
Rappelez-vous une chose : le problème n’est jamais ce que vous vivez, mais la manière dont vous le vivez. Par exemple, si vous vivez en couple, que l’harmonie et l'amour sont là, mais que votre appétit sexuel faiblit temporairement, il vous faut prendre conscience qu’il y a là un processus intérieur qui se joue en vous, et qu’il est vain de tenter de résoudre ce qui n’a pas besoin résolu, mais plutôt accepté, et pour une durée qui appartient à l’esprit. Quant à savoir si la sexualité est appelée à disparaître chez l’être en évolution, la réponse ne peut être qu’individuelle, car chaque processus est unique. Par conséquent, si vous vous désolez de ne pas trouver de partenaire, de ne pas trouver chaussure à votre pied, ou bien que vous vous inquiétez de cette perte de désir, acceptez simplement ceci comme une étape dans votre processus de transformation, un processus qui dépasse de loin tout ce qui a été vécu sur cette planète. Par ailleurs, ce qui s’actualise ici, en toile de fond, c’est ceci : “si je ne suis pas en couple, que je n’ai pas de partenaire ou que la sexualité se fait rare dans ma vie, suis-je encore un homme“ ou “suis-je encore une femme ?“ Sentez l’insécurité, l’angoisse et les peurs que cette question peut susciter. Or il ne s’agit pas de savoir si vous êtes encore un homme ou une femme "digne de ce nom“, mais si vous êtes prêt à vivre ce face à face avec vous-même, ce contact avec votre esprit, avec la dimension cosmique de votre être, sans un partenaire à vos côtés pour vous tenir la main et vous sécuriser. Comprenez que le contact avec votre essence, avec votre esprit, ne peut être vécu que dans un espace vibratoire où l’autre n’a pas sa place. Cette rencontre exige que seule votre Présence soit. Alors oui, cette perspective peut paraître terrifiante aux yeux de celui dont la conscience n’est pas individualisée. Mais pour l’être qui est dans son esprit, dans son intelligence et dans son identité profonde, cette perspective ne ressemble pas à un désert aride, triste et angoissant, mais à une plaine vaste, vivifiante et luxuriante, où tout devient possible. Elle est une condition qui lui permet de maintenir un haut niveau d’énergie et un haut niveau de créativité, afin qu’il puisse réaliser éventuellement une œuvre spécifique sur ce plan.
Par conséquent, s’il y a attirance envers un autre être, il ne peut plus s’agir simplement de la rencontre de deux corps, mais de la rencontre de deux esprits, qui nécessite que deux énergies se trouvent, se complètent, s’élèvent mutuellement et œuvrent de concert.
La sexualité humaine est un peu comme une mèche qui s’enflamme rapidement, se consume intensément, et puis s’éteint. Dans la rencontre vibratoire, il s’agit d’un autre feu : un feu alchimique qui permet à deux êtres d’accéder à un autre plan vibratoire, un autre niveau d’expérience, un autre niveau de conscience et selon les cas, un autre niveau de service. De ce point de vue, l’être ne peut donc plus envisager ou concevoir la sexualité et la vie de couple comme il le fit par le passé. Il ne peut plus s’assujettir aux besoins sexuels, relationnels et émotionnels qui convenaient à l’ancien ego et lui assuraient une sécurité psychologique. Sa nouvelle vibration impose naturellement un certain type de vie, dont chaque aspect ne peut plus être limité, conditionné ou dominé par les anciens besoins de l’ego planétaire. Son existence est désormais régie par son rayon, par son esprit et par le mouvement de la lumière en lui. Dans ce nouveau paradigme, il y a ce qui est possible et ce qui n’est pas possible, vibratoirement parlant. C’est aussi simple que cela. Et ce qui était envisageable par le passé, n’est plus envisageable aujourd’hui. L’ego planétaire, qui souffre d’insécurité et d’un manque d’identité, préfèrera être mal accompagné plutôt que seul ; mais l’être en évolution de conscience préfèrera toujours être seul plutôt que mal accompagné. Il n’a plus besoin de l’autre pour répondre à ses besoins psychologiques, pour se sécuriser, pour se donner de la valeur, du plaisir ou donner du sens à son existence. Il ne peut simplement plus faire de compromis. Sa sexualité demande donc un partenaire qui non seulement convienne à sa sensibilité, mais qui soit également connecté à son corps ET à son esprit. Sans cela, il sera insatisfait et ne supportera pas de se sentir en lui cette dysharmonie et ce déséquilibre. Quand bien même un homme trouverait une femme à son goût ou vice versa, ce ne sera pas suffisant pour combler les besoins vibratoires de l’être de plus en plus centrique. En d’autres termes, à partir du moment où l’être est dans son intelligence et dans son identité profonde, il ne peut plus partager sa vie et sa sexualité avec un être qui n’est ni dans son intelligence ni dans son identité profonde. Il est évident que pour l'être en évolution, l’exigence est plus grande mais cette exigence lui est imposée par l’énergie de son rayon, par le mouvement de la lumière en lui, et non par son ego. L’harmonie d’un couple ne se limite pas à une compatibilité sexuelle ou une attirance physique, bien qu’elles soient importantes : les deux esprits doivent vibrer, être en communion. Et si l’être est amené à partager sa vie avec un autre être, c’est son esprit qui en décidera. Et s’il le décide, ce sera pour répondre à un besoin d’évolution ou de transmutation. Plus l’être est évolué dans sa conscience, plus le niveau d’exigence est élevé, de sorte que l’ego n’est plus à même de transiger, de négocier ou de s’accrocher à ces anciennes habitudes et à ses anciens besoins.
L’être centrique est présent à lui, en lui, et c’est précisément de cette Présence et de cet alignement qu’il tire la pleine puissance créatrice de son être.
QUELS BAUMES SONORES CHOISIR
Comme nous l’avons vu, les mémoires liées à la sexualité sont extrêmement puissantes et lorsqu’elles se libèrent, elles peuvent provoquer de l’inconfort comme des douleurs dans le dos, le bassin, les jambes, avec une sensation de feu intérieur, mais aussi des réactions cutanées, des manifestations au niveau de parties génitales, etc. Tous ces symptômes sont transitoires et sont le signe que le processus est activé. Dans la foulée, le processus a tendance à faire remonter de vieilles émotions telles que la tristesse, la colère, la révolte, le sentiment d’injustice, la culpabilité mais aussi le dégoût de soi. Les problématiques liées au désir sont également ravivées, avec des pensées telles que : “je ne me sens pas désiré“, “je ne suis pas désirable“, “je dois tout faire pour être désiré“ et “je souffre de ne pas désirer moi-même“. Les constructions de l’ego, assujetti à sa mémoire, sont toujours aliénantes. Pour accompagner la libération de ces charges, il existe dans la gamme TNSO plusieurs Baumes sonores et programmes d’écoute très efficaces. Je recommande en premier lieu les Baumes simples en lien avec le sacrum, la prostate et l’utérus, ainsi que les Baumes combinés Sphère masculine et Sphère féminine. Si vous souhaitez effectuer un travail en profondeur sur plusieurs semaines, je vous conseille particulièrement les programmes “Autonomie & Puissance féminine“ et “Vitalité & Puissance masculine“. Ces deux programmes ciblent la partie basse du corps et facilitent la libération des mémoires transgénérationnelles. Je vous renvoie également à deux podcasts très éclairants sur ces sujets, Le Voyage de Léa et La Traversée de Myriam. Ces podcasts montrent les différentes étapes du processus et l’action puissante des Baumes sonores sur ces mémoires.
De la domination à la puissance créatrice de l’être
À travers la sexualité, c’est toute la dimension cosmique de l’homme qui s’exprime et avec elle, sa puissance créatrice. Sans conscience, l’homme dilapide son énergie vitale et l’offre en pâture au serpent planétaire et aux forces invisibles. Or cette fin de cycle est marquée par un changement de pouvoir et de régence entre deux types de forces : les forces astrales et les forces de la lumière. Dans cette phase de transition, les forces astrales qui ont ralenti l’évolution d’homme durant la période involutive, n’ont pas d’autre choix que de se retirer, tout comme la nuit n’a pas d’autre choix que de s’effacer lorsque le soleil apparaît à l’horizon. L’homme avait besoin de s’enfoncer dans les tréfonds de la matière, jusqu’à s’y perdre. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu’il s’est plutôt bien débrouillé. Il est temps pour lui de ne plus nourrir les forces invisibles, que ce soit à travers ses émotions, ses pensées, son corps de désir et sa sexualité. Il est temps pour lui de s’affranchir de toute domination. S’affranchir signifie : reprendre possession de son territoire, replacer le maître dans sa Demeure et devenir enfin maître de son énergie. Durant l’involution, la sexualité a servi à canaliser l’énergie vitale et la puissance créatrice de l’homme, à des fins de domination et de manipulation. L’homme doit aujourd’hui entrer en contact avec son esprit et accepter que sa vie se réorganise. Il doit apprendre à canaliser son énergie et son intelligence créatrice pour son propre bénéfice.
Et lorsque la puissance sexuelle est mise au service de la puissance créatrice dans l'homme, l'homme devient capable de créer des formes nouvelles, qui non seulement servent son évolution, mais aussi l’évolution de la conscience et le changement planétaire.